Ils m'attendent derrière la porte du box.
Quand j'ouvre, ils sortent "à la bébés" qui négligent les dénivelés, comme une coulée de biquets.
Toujours dans mes pieds... pour être le premier en cas de biberon... Coté pratique, il y a mieux, mais c'est tellement attendrissant... comme un baume sur le coeur meurtri...
Tout jeunes, les cabris me confondent avec le biberon même si je n'ai rien dans les mains.
Ca passe petit à petit quand ils commencent à manger du foin.
Quand je sors du box, ils sortent.
Je ferme la porte derrière eux...
... je passe tout le monde par dessus la cloison...
et je pars en laissant des cabris bêlant bruyamment leur frustration.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire